J'ai quitté Rome en 1981 pour venir en appui á la nouvelle faculté pontificale de théologie á Kaslik tout en me consultant des professeurs et procureurs certains sont devenus évêques (Mahfooz, Noujaim) et un Patriarche (Béchara Rai) j' ai pu terminer l'année académique 1981 mais sans pouvoir obtenir le diplôme de licence en théologie. Les violences de la guerre au Liban qui se sont éclatées à Zahlé (mai-juin 1981) et puis se sont étendues avec une violence inouie dans l'histoire des guerres mondiales, sur Beyrouth, Metn et Kesrouan avec les fameux bombardements des écoles et des universités par l'armée syrienne et leurs alliés des palestiniens armés, des milices progressistes et musulmanes libanaises.

J'ai gardé ma ligne d'engagement á travers une inspiration de l'enseignement de l'Église (concile Vatican II) et l'enseignement du pape Jean-Paul II dont le premier meeting-rencontre avec lui en novembre 1978 a laissé ses traces dans ma vie personnelle et professionnelle jusqu'à la dernière rencontre avec lui au Jubilé 2000 ans devant la Basilique de Saint Pierre. Car chaque jeune a besoin d'un certain modéle d'idéal dans la vie pour poursuivre et construire son chemin. Decu ets cnadalisées de certaines personnes dites consacrées à Dieu mais d'autres ont confirmé les traces futuristes de mon chemin de P. Béchara Rai (patriarche des maronites) et Guy Noujaim (Vicaire patriarcal), Mahfouz (archévêque des maronites au Brésil), Abbé Sfeir et autres, Frère Bernard Hobeika (écoles des frères chrétiens), les amitiés avec Antoine Chehwan, Joseph Habbouche et sa femme Joumanah, ensuite prof Raymond Chemalé et sa femme et quelques amies et amis dans des mouvements catholiques chrétiens. Puis à Rome, le rôle des grands professeurs certains sont devenus des amis et les relations avec des mouvemenets catholiques de base comme Comnunione e Liberazione dont j'ai rapproché le patriarche Rai en 1986 à peine nommé vicaire patriarcal maronite à Bkerké en. Une ligne, une vision et un engagement avec persévérance malgré les grandes difficultés

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Dr G. El-Lakkis au Liban de 1981-1985, Liban écoles universités, vision de Paix á travers l'éducation d'une génération libanaise dans les écoles, les universités, les paroisses et les villages sur les côtes et la montagne libanaises de Beyrouth, Mont-Liban(Metn, kesrouan, Jbeil) au Liban Nord (Batroun et Bcharré etc)

J'ai commencé á enseigné dans les écoles publiques au Liban le premier pas a été fait dont l'abbé Antoine sfeir qui m'a confié de le remplacer dans l'enseignement cathéchétiques dans une école publique à Dbayé dont ce lieu était un carrefour important dans ma vie et de la ligne tracée par moi-même malgré les oppositions farouches et les intolérances des hommes dits consacrés à Dieu et à la défense des chrétiens surtout la dite zone chrétienne ! Des affaires et scandales (intervention de Saint-Siège), des violences et des meurtres fratricides avec bombardements et destructions des quartiers et des villages chrétiens qui se sont éclatées à l'intérieur de cette zone au niveau religieux et politique de 1983 à 1990 culminées par l'invasion de cette zone en 13 octobre 1990 par les forces syriennes et leurs alliés qui ets tournée trés mal pour le futur de l'influence politique de la dite élites politiques miliciens chrétiens (intervention appuyée au niveau international).

En été j'ai consacré mon temps libre avec des amis et compagnons dans la paroisse universitaire à faire des missions et colonies dans les villages du Liban pour favoriser une génération intelligente et ouverte autre chose que la guerre et la violence !

Je n'ai jamais donné le sentiment à mes jeunes éléves comme un différent loin d'eux mais comme grand ami et grand frère en égalité et non pas en distance intellectuelle ou de niveau surtout intelligence.

Et me voilá le crépuscule qui va vers l'Occident et je suis parti en 1985 fion octobre vers Rome en compagnie de la bénédiction du Patriarcat maronite á travers le Vicaire de Batroun et non pas de Beyrouth

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La guerre et la violence au Liban de 1981 au 1985, mais j'ai fait une stratégie de vision de l'éducation à la paix, écoles, universités, mouvements, paroisses etc. J'ai associé aussi mes amies et amis dans mon travail (femmes et hommes) malgré l'opposition des mentalités professionnelles et sociales chrétiennes !

J'ai assumé mes décisions et mes actions avec responsabilité et liberté de conscience guidée par une vision et passion vers Dieu le Christ, Notre mère Marie et les autres personnes humaines de différentes générations.

Au Liban de 1981 184 durant mes années universitaires USEK - Kaslik j'ai co-fondé la paroisse universitaire comme un mouvement pour kle sjeunes chrétiens dans les universités, Facultés et instituts de hautes études dont j'étais le responsable de 1982 au 1983 et on a organisé de manifestation à caractére spirituel loin de la politique malgré que les miliciens chrétiens ne favorisent pas ces activités. Mais l'appui de la Conférence épiscopale des église catholiques au Liban nous a appuyé. Marche vers Notre-Dame Ilij á Mayfouk haut lieu de l'histoire des patriarches maronites

Dr El-lakkis excursion école avec ses élèves: J' ai effectué des excursions pédagogique et culturelle pour les éléves dans les écoles, les universités et les paroisses au Liban de 1981 au 1985. Je les ai amené vers les lieux et les sites historique, culturels et naturels importants avec prudence et courage malgré la crainte des bombardements qui s'éclatent sans préavis pour donner un sens de civilté et de vision futuriste avec un idéal de créér "une ambiance d'oasis" pour faire sortir . J'ai réussi à convaincre les responsables des écoles de sponsorisés les voyages avec les autocars comme à Notre-Dame de Louaizé et Collège des Frères Mont-La-Salle. Les responsables étaient très positifs d'accepter mes projets éducatifs et futuristes. Tous on était heureux malgré l'ambiance de guerre et de violence. J'ai pu créér une certaine ambiance de charité, de sensibilité, d'échanges entre les personnes, avec une orientation avec des idées qui s'inspirent de la doctrine sociale de l'Église et de la foi chrétienne surtout des enseignements du pape Jean-Paul II. 
 

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Aucun jour je n'ai pas laissé le Liban (les libanais avec ses jeunes et familles) par mes pensée et mes préoccupations aussi action et profession en tant que journaliste en Europe. Même durant certaine expérience j'ai noté que le shauts responsables de la politique ne s'intéresse au vrai bien majeur de son peuple et ses familles et jeunes surtout la majorité silencieuse sauf á travers une optique de sintérêts qui ne sont pas en harmonie de l'intérêt du pays. Combien des autres étrangers qui s'intéressent au Liban et libanais en politique, aide humanitaire et au développement, mariage et investissements...


© FOIRALLE