La voix du Pape Jean-Paul II, appel et illumination de mon chemin le choix de l'éducation à la paix, qui m'a attiré du Liban au Vatican-Rome 1985-1993

   

La voix du Pape Jean-Paul II qui m'a attiré de revenir à Rome en 1985, un appel intérieur je le sentais au profond de mon âme et de ma conscience. Ici au Liban il y a vait la logique de la guerre et de la violence, les milices qui dictent leur ideologie et leur escocrequiere, un jour protecteur de la zone et un autre resprendre pa rla force ce qui a perdu, massacre et assisnats icic et lá, guerre et et déplacements des chrétiens dans la montagne. Autorite eclclésiale sa voix a perdu son volume le haut, mais heureusement que le Peuple de Dieu averc le petit reste qui donnera le salut un jour à un peuple sacrifié pour rien, humilié pour rien, le chrétien n'a pas le futur s'il n'a pas la carte d'adhésion, certains hommes de l'Église libanaise de haut en bas l'important d'être invités aux cérémonies et certaines messes avec des homélies le azaar devient un saint, le faux idéologue devient le prophète et le sauveur de la zone et petite nation chrétienne. Heureusement qu enous avons des bonnes soeurs et prêtres avec leur compagnie on s'est pu reconforter comme les apôtres devant le grand léviéthan de l'empire romain ou les milices de zones chrétienne et musulmane. Voilà un appel au profond de mon âme et "un signe de temps" qui m'ont poussé d'aller à Rome tout en prenant un risque futuriste illuminé par une foi forte, encouragé par le rôle de l'Église comme Mater et Magister - Mère et enseignante.

Puis l'encouragement de mes élèves et le directeur du Collège des Frères Mont-La-Salle et une amie de la "Paroisse universitaire", ensuite encouragement d'un ami professeur et ex directeur et actuel prélat maronite. Malgré les bombes et les bombardements quotidiens, toutes ces personnes qui m'ont indiqué un signe, je priais souvent tout seul au-dessus

des pins de notre maison dans mon village Kfar hatna des arbres implantés par mon père qui était un commissaire dans la police judiciaire de Saida et Beyrouth influencé par "le Projet Vert Al Machrouh al Akhdar" quand il a changé l enom de notre famille vers El-lakkis en 1966 en action de vision de l'appartenance à la antion libanaise chrétiens et musulmans. Le jour où j'étais á lui aider avec mon frère Michel et le frère d'un prêtre missionaire maronite Noun de Mehmarch ou Ras Nahesh. Je confiais tout d'abord à mon frère Michel que je suis appelé à casser dans la vie certaines idéologies contraires à la Vérité, Car on était ensemble á casser les pierres sous la maison, car il est impossible de le casser avec le compresseur et dynamite comme on a fait dans les autres terrasses devant la maison à la fin de l'été 1985 dans mon village Kfar Hatna dans le pays des cèdres Liban Nord.

Avant mon départ j'ai amené dans ma voiture vers le sanctuaire de Sainte Rafqa à Jrabta tout près de mon village, et sur la tombe de Neemtallah Hardini j'ai évoqué les grâces du Seigneur et les intercessions des Saints libanais maronites, en compagnie de ma mère Généviève, de ma soeur Mona et de mon ami et future gendre Ghazi. Un risque de voyage sans porter seulement en possession d'un vicaire patriarcal qui me consentait de m'inscrire à l'université pontificale Saint-Jean au Latran surtout à l'Institut Jean-Paul II pour le Mariage et Familles.

à suivre

Dr G. El-Lakkis

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