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Allemagne Bonn 1993-2013. Mentalité de Discirmination et racisme. Vivre comme "étrangers permanents". Auslander kein Hallo ou bonjour ! je suis un client plus de 20 ans et toujours les mêmes attitudes: sans bonjour, sans merci, sans le bienvenue, comportements de non-chalence ou iindifférences. Un même jour les comportements ont été pareils par les personnels qui travaillent dans le secteur de services: magasins, shop mode, marché, le personnel des grandes chaines de distribution en commencant par A, GKH

De 1992 au 2011 vivre á Bonn avec le sentiment de l'étranger permanent et toujours. Jamais j'ai vécu avec le sentiment comme "Bonner Bürger" dans la normalité comme un citoyen toujours vu comme le différent "Fremde, voire l'étranger en permanence" de Stadt Bonn, Uni Bonn, katholische Kirche in Bonn, shops, magasins, quartier, paroisses, des connaissants, supermarchés comme Aldi, Kaiser's, (clients hebdomadaires depuis 1992 kaufhof (gentilles femmes en haut, le sympa-profi italien de l'horologerie) , SinnLeffers (3 personnes qui saluent) , Karstadt, petits magasins, cafés trottoirs, restaurants j'ai cessé de manger dans les restaurants à Bonn) tourisme, hotels, lieux et offices, Rathaus (deux maires) et le marché de légumes et fruits (sans flair et culture cordiale) des gens de haut et d'en bas tous ont les mêmes clichés de vision systématique avec les comportements vers l'étranger. Jamais ces personnes qui me connaissent depuis 1993 et surtout 1995 à Bonn et à Beuel, c'est vivre avec ce sentiment permanent de l'étranger permanent "Auslander für immer". Même l'accréditation au Jour de Deutschen Einheit (30 septembre) , á l'accueil de la presse á DW la responsable de la presse Stadt Bonn me dit pas de badge, sans rien pour le sjopurnalistes et le lendemaint je voie des autres journalistes avec des badges. (Racisme, mensonge , discimination ou refus d'autointe´grationd e la part de certains et certaines qui travaillent à la commune de de Ville Bonn même les maires de SPD qui ne saluent pas pendant les en 2007 et 2010 au press lounge de Marathon Bonn, elle et il m'ignoraient mais des dialogeus avec la presse locale. Ces Bonners (origines et races différentes) de politique, église catholique, au commerce, culture et tourisme tous ont "des têtes programmés systématiquement avec une mentalité-culture-vision "Tu bist immer ein fremde unter uns- tu est toujours un étranger inconnu entre nous. Donner un sentiment de Mitbürger - concitoyen ou compatriote ou comme un citoyen allemand. Mais le concept Auslander est entré récemment avec les Gastarbeiter. á chaque fois que je me mets en contact (achats, informations, journalisme) mes efforts quotidiens à Bonn dans le contact social, commercial, politique écclésial, de services et de tourisme il n'y a pas cette attitude de sourire, de cordialité. Il me semble que les allemands sont éduqués à la haine des autres, au refus permanent de l'autre et la distance de ce qui est étranger sauf ce qui oblige par "le devoir de travail" ou les lois et les droits qui dictent, mais le contact sans sourire, et des paroles sechesses. On n'essaie pas à communiquer cette culture et art "vous êtes connu Monsieur". Non c'est toujours le sentiment tu es étrangers et vous restez l'étranger éternel. Amen

Des accidents le samedi 16 juillet chez Aldi á la caisse alte Blondine qui ne dit jamais hallo á moi sauf aux cheveux blonds, aprés-midi le lundi au Marché de légumes Marktplatz Rathaus ce commerçant au premier rang à droite de Remigiusstrasse lui qui criait 2 euro le kilo de cérisier, la femme allemande ancienne qui était devant moi elle a payé 2 euro. Voilà mon tour arrive, celui-lá il m'ignore au lieu de me servir, il a interrompu pour crier "3 euro ein kilo Kirsch" tout en me ragardant de penser que je suis un étranger ignorant. les allemands pensent les étrangers sont moins degrés en savoir et connaissance de la politique, messen, commerce et journalisme le sgens dans les rues. Je suis le client de ce marché depuis 1993. Il me connait bien. Voilà "le racisme instinctif" saute dans sa tête et ses yeux, la lecture est visible manière. J'ai répliqué der heer j'ai entendu vos cris á 2 euro et la femme devant moi a payé 2 euro et pourquoi maintenant 3 euro. Il n'a pas dit pardon comme les allemands souvent ne disent pas pardon aux étrangers et entre eux-mêmes une parole rare dans le public (bus, trains, aéroports, stations, endroits, lieux et milieux, en société etc (à la base de mes expériences et obeservations). Il a dit des paroles que je ne les ai pas compris. la femme a refusé aux deux arabes de les vendre sous prétext c'est fermer le marché. L'instinct racial est plus fort que l'intelligence commerciale de profit ! Puis le lundi chez Aldi la même femme qui disait aux trois clients devant moi allemands-germains. Hallo Aufwiersehen, à moi le silence, alors j'ai réplique "Auslander kein hallo", sa réponse de mensonge qu'elle a dit. Ces collègues me disent hallo malgré le stress de la caisse comme une machine de production mécanique et tout dois être vitre pour payer et prendre vos affaires, certains femmes anciennes qui crient "ich habe keine anderes Händen) . Les clients deviennent une machine de payement et on perd le respect vers les clients et les employés programmés de servir avecd es conditions difficles et stress énorme "aber wir verdienen geld).

C'est comme ça la vie quotidienne en Allemagne vivre dans ce spirale vide de sentiment d'un étranger permanent. Le paradoxe dans le monde des salons et conférences, l'endroit exige une autre culture et code de communications , parce que là gare aux allemands si les visiteurs professionnels étrangers découvrent un racisme clair sous le soleil, s'il sort des bouches et des comportements, personne n'achète les produits ou venir á exposer eces produits tc

Il fait une compagne de ré-éducation les allemands en bas et en haut à la cordialité, la mondaniété, le bon accueil avec sourire, de communiquer avec le Frmde étranger inconnu de lui connaître á partir de la famille, école, université, travail, comunes et institutions, Bundes, Landes, Kommunen sinon des problèmes sociaux se souléveront un jour et le monde ne pardennora une troisime fois aux allemands d'après deux guerres mondiales avec les catastrophes fatales etc

Le journaliste allemand francophone, de formation philosophique et théologique au Vatican

Dr G. El-Lakkis

© Photos FOIRALLE


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