L'annonce de la Parole de l'Évangile de la mort et de la résurrection de Jésus-Chrsit comme le Sauveur de l'gumanité s'est repandu rapidement à travers le Kérygme des apôtres et des disciples de Jésus, de l' Orient du monde méditerranéen Jérusalem, Antioche, Alexandrie, aux frontières de l’Empire romain en (Moyen-Orient) Arabie, Mésopotomie, Perse, Inde, Constantinople et jusqu'à l'Occident Rome, Rhin, 'Allemagne, France, Espagne et Grande-Bretagne. La nouvelle foi ou la religion du Christianisme gagne des pays et des territoitres en Orient et en Occident (Europe de l'empire romain), individus, familles, tribus, contées, provinces,, peuples et cultures. Ce message de salut atteint en 3 siècles des autres peuples autres que les juifs, les phéniciens, les assyriens, les syriens, les grecs, les romains, les égyptiens, les éthiopiens par les romains dont le Colysée est le grand témoin de ce barbarisme et show killer contre les adep tes á cette nouvelle religion qui a été considéré une grand emenace pour le César et l'empire romain. Mais avec les édits de Milan de Constantin qui a gagné sa bataille grâce aux combattants chrétiens dans son armée.

C’est en Antioche que les disciples de Jésus-Christ sont appelés des chrétiens "’est là que s’est formée une des premières communautés de chrétiens (Ac 11, 19-26). C'est dans la ville d'Antioche et de sa grande région qui s'étend vers la Mésopotamie, la Syrie, la Phénicie (Liban) la langue des communautés chrétiennes était l'araméenne et plus tard appelée le syriaque dont des églises-patriarcats portent jusqu'aujourd'hui les titres de "Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient" comme les communautés-églises Maronites, Syriaques catholiques et orthodoxes, Grecs orthodoxes et Melkites. Mais la foi chrétienne a subi une longue periode de persécusion commune des chrétiens d’Orient jusqu'aujourd'hui on parle la langue syriaque comme Tur Abdin en Turquie malgré l'arabisation depuis la conquête musulmane pour Antioche en 636 siècle et la turquinisation depuis le 16e siècle après les Mamelouks qui ont chassé les croisades au 1289. Ces derniers leur atrocité et brutalité contre les Maronites chrétiens restent encore forte dans la mémoire collective des Maronites (aussi les musulmans chiites) dont ils ont subi l'humiliation, avec des églises saccagées et brûlées aussi un patriarche a été brûlé á Tripoli au Nord du Liban par les Mamelouks et les villages et dans la montagne libanaise qui ont été incendié avec ses habitants tués aussi les chiites musulmans ont subi le même sort.

Fin du IVe siècle des où des grands pères de l'Église se sont illustrés dans la défense de la foi orthodoxe du Christianisme (écoles théologiques à Antioche, Alexandrie et Constantinople, Damas) parmi lesquels Saint Jean de Chrysostome, Saint Ephrem le Syriaque et Saint Maron (cette année est l'année de jubilée de 1600 ans à sa mort en 410-2010) dont plus tard une communauté-église a été érigé par ses adeptes qui ont suivi sa défense de la nature du Concile de Calcédoine

Mais les guerres violentes et coûteuses entre les deux empires romains-byzantin et empire perse de 611 à 630, ont favorisées d'une manière et d'autre de l'ouverture des frontières aux nouvelles tribus arabes islamisées récemment d'envahir et conquérir à jamais le spees peuples dans les provinces de la frontière sont restées alourdies par les guerres violentes en va et vient, taxes, destructions, razzias, morts et déplacements. Ce speuples qui au fond de leur coeur de profondis cherchLes musulmans sont devenus Hajj Khalas le salut de ces deux empires. Alors la conquête arabe musulmane a assuré la paix à travers la force armée et le pouvoir politique systéme politique et religieux (Khalifat) est passé sous le sabre de l'Islam et des musulmans mais la culture est restée avec les chrétiens comme la langue, la littérature, la traduction, les sciences. Mais le mouvement d'islamisation forcée sous menace de mort ou de conversion ou aussi le paiement des Jizyas (rançons).

Cet Orient jadis chrétien qui est devenu musulman à plus de 90%, les 4 églises-patriarcats Jérusalem, Antioche, Alexandrie, et Constantinople (Istamoul) qui sont restées des titres honorofiques et de mémoire historique et non plus des églises et territoires car le territoire est perdu à jamais. il n'y a plus des chrétiens dans cette partie de l'Orient, de l'Iran à l'Iraq aussi à la Turquie quelques dizaines de milliers, il y en a encore un peu la Syrie, le Liban (le président de la République est chrétien maronite), Jordanie et Égypte.

Et précisément le VIIe siècle annonce les bouillonnements de fanatismes sanglants sur fond de guerres perso-byzantines. En Perse, le manichéisme avait été noyé dans un bain de sang et, dans le monde chrétien, la condamnation du nestorianisme par le concile d’Éphèse (431), suivie de l’interdiction du monophysisme par le concile de Chalcédoine (451), attisait la guerre entre les Églises d’Orient et l’Église grecque (chalcédonienne ou melchite). Alors les dissensions théologiques dogmatiques et les rivalités et les querelles entre les patriarches sur la primauté hiérarchique des sièges patriacals (qui avant Rome, Antioche ou Constantinople voire Alexandrie ? C'est l'invasion et la conquête de l'Islam et des musulmans pour ses villes-métropoles à mis fin aux rivalités entre le ssièges, mais ceci n'est pas encore terminé. Au récent Synode pour l'Orient tenu á Rome de 10 au 24 octobre au Vatican, dans les relations des participants combien des noms de différentes églises-patriarcats catholiques (Maronites, Syriaques, Melkites, Arméniens, Chaldéens, Ethiopiens, Coptes, latins ) dont face á ces églises-communautés il y en a autant de sorthodoxes, et orhodoxes. Est-ce une richesse pour les Chrétiens dont leur sort est inconnu dans le futur immédiat. Immigration, face aux crises économiques et politiques, la montée du fondamentalisme musulman, la perte quotdienne d'espace social, démographique, social et culturel, le politique a perdu dans certains pays aucune présence, même les maronites du liban sont divisés entre oligarches politiques, néo-clanisme politique, clérgé maronite, allégeance extérieure. Une crise profonde qui secoue les maronites dont à leur tête un patriarche qui a dépassé les 90 ans selon le droit canon les prélats de l'Eglise catholique présente leur démission à partir de 75 ans

Le cris des participants à Rome pour le futur des Chrétiens au Moyen-orient n'a pas été entendu dans les médias au niveau international. Icic en Allemagne on ne sait rien sur le Synode des évêques tenus par le pape allemand Benoît XVI.

Que reste-t-il des paroles du Concile Vatican II et du Pape Jean-paul II sur "la famille comme première base de la société" et "le futur de l'Églsie passe à travers la famille" ?

PS: C'est la faute de qui si l'Orient et Moyen-Orient est devenu musulman et vidé des Chrétiens à jamais, avant l'Islam il y a vait un problème entre les élites des chrétiens surtout les hommes de l'église, patriarches, évêques avec les hérésies et les controvers et disputations théologiques et dogmatiques. Le sang entre chrétiens s'est coulé avant l'arrivée des musulmans. Les chrétiens du Liban surtout les maronites qui se sont réfugiés au Liban suite au massacre de 350 moines par les chrétiens jacobites.

Combien l'angoisse et la souffrance des familles et jeunes chrétiens sont fortes au Moyen-Orient !Mes émotions avec eux

Moi personnellement j'ai vécu des persécutions faites par certaines milices dites chrétiennes et de certains clergés de l'église-maronite au Liban surtout à Rome. Mais à l'ombre du pape Jean-Paul II j' ai connu l'amour et la solidarité de l'Église universelle (institutions et personnes) qui m'a donné toute la liberté responsable voire Mon blog maronite en Europe >>....

Dr G. El-Lakkis

Docteur théologien de Rome "Identité historique du Liban. Les perspectives du Pape Jean-paul II pour la réconciliation"

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 Des conflits dogmatiques et luttes fratricides entre les Chrétiens en Orient a permis l'essor et la conquête de l'Islam pour cette partie du monde - Moyen-Orient et dans le monde


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