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Liban des villes sont devenues vides de la présence des chrétiens plus de 2000 ans

Dans les scènarios et évènements dramatiques des stratégies géo-politiques de l'Occident et l'identité historique d'une religion qui remonte à 1400 en Orient jadis chrétiens depuis l'essor du Christianisme dont cette existence des chrétiens qui s'effacent de la carte géographique depuis 14 siècles surtout depuis les temps des conquêtes violentes des arabes musulmans, mamelouks et pottomans jusqu'à le conflit israélo-palestinien dont le Liban avec ses populations communautés religieuses ont payé trop cher depuis 1969 et surtout 1975-1982 et 13 et octobre 1991 au Liban la défaite d'un ge´néral chrétien maronite dont le chef d'une milice fite chrétienne a appuyé les forces syriennes, musulmanes, chiites et druzes, mais à son tour il est fini en prison plus de 11 ans stupidité de vision et calcul manque des expériences politiquesl es guerres au Liban ont tourné mal pour les chrétiens, leur présence physique, existentielle, géographique et territoriale du Sud du Liban (Nabattieh, Bint Jbeil, Tyr, Sidon), au Nord du Liban, Tripoli, Akkar et Dunieh du Beyrouth, la zone west de la capitale presque vidée par les chrétiens (écoles et habitants) et sa banlieue sud. Puis la montagne du Chouf des druzes moitié-moitié en 1983 massacres des milliers des chrétiens et le grand exode des chrétiens presque vidés par des dizaines des villes et des villages aussi vers la vallée du Békaa de l'Est de Hasbaya (druzes) , Anjar et Massnah (sunnites), à l'Ouest de Hermel, Baalbek (Chiites ).

Sur la carte géographique, cette présence des chrétiens est en disparition vertigineuse et très inquiétante. Oui il y a la responsabilités des pays arabes musulmans et des pays occidentaux laics, des leaders politiques libanais surtout musulmans qui ont travaillé à vider certaines zones et villages car les casas semblent à avoir d'une certaine communauté religieuse musulmane. Puis arrive le laxisme des hommes politiques chrétiens libanais qui ne sont pas interessés pour les chrétiens des autres zones. Ils se sont interessés de leurs régions de Beyrouth, Metn, Baabda, Kesrouan, Jbeil, Batroun, Zghorta, Bcharé et Koura dont sont en majorité les chrétiens coincés dans une région qui s'étend à moins de 70 km de longueur et maximum 25de km largeur.

Comment peut-on-parler encore de la coexistence chrétienne-musulmane tant que les chrétiens n'existent plus démographiquement dans certaines villes, villages et provinces ?

Alors la phrase fameuse du Saint-Pape Jean-Paul II : "Le Liban est plus qu'un pays, c'est un Message" que reste-t-elle de la réalité ? Le principe historique le Liban est devenu au fil des ans "la terre refuge" pour individus et peuples depuis la persécution de Saint-Élie dans l'Ancien Testament, au Jésus-Christ au Sud du Liban, des communautés persécutées des chrétiens maronites des plaines fertiles de la Syrie et Antioche en passant par les druzes, chiites, arméniens, grecs-melkites,grecs, polonais (2 guerre mondiale) palestiniens, (avec leurs armes ont changé la présence démographique des chrétiens au Lont-Liban et le Sud) aux Iraquiens, Syriens qui ont dépassé le 1 million et demi en majorité des musulmans sunnites.

Dr El-Lakkis (du Liban à l'Europe à travers le Vatican) docteur en théologie morale "Identité historique du Liban. Perspectives du Pape Jean-Paul II pour la réconciliation" au PUL Cité du Vatican (Saint-Siège) voire Google >>>>>.

Liban voire une vidéo sur Youtube >>>>

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